Les écrivains font l’apologie des contes qui permettent de développer l’imaginaire, les psychologues y voient l’occasion non pas d’être traumatisés mais de verbaliser de façon oblique des angoisses et des peurs, tout en ménageant des fins heureuses.
Bruno Bettelheim dira que les contes traditionnels aident les enfants à grandir, aident à accepter les frustrations, à les percevoir comme des obstacles transitoires, des difficultés qu’on peut surmonter avec fierté et courage. Les manières de manger et de bouger sont plurielles, liées aux habitudes socioculturelles, aux pratiques familiales, aux expériences, au goût et au plaisir de chacun.
Éclairer la diversité, comprendre des pratiques nutritionnelles, développer l’imaginaire et donner envie, telles sont les finalités des lectures d’histoire.